top of page

Notre

PROJET

Un peu d'économie

Recherche et développement :

 

Nous avons passés 4 mois à la recherche des meilleurs matériaux présents dans la région permettant un rendement de filtration le plus élevé possible. Nous avons un carnet des charges assez complexe comprenant notamment :

  • L’utilisation de matériaux régionaux pour limiter l’impact carbone sur l’environnement.

  • Un filtre capable d’être viable économiquement et capable de s’insérer dans le marché de ces types de produits.

  • Un filtre s’autogérant, qui soit capable d’évoluer seul et se régénérant tout seul, sans système de cartouche.

  • Adopter une démarche d’éco-conception en prenant compte de toute les étapes du cycle de vie d’un produit de sa conception et les matières première nécessaire à celle-ci jusqu’à sa fin de vie et son stockage ou de son recyclage.

  • Nous voulions un produit capable d’être recyclable ou du moins qu’une partie du filtre en fin de vie puisse être réutilisée pour la conception d’un nouveau filtre.

Pour le développement de notre projet et donc de prototypes nous avons comme objectif de s’allier avec des entreprises régionale pour limiter la conception et la réalisation de nos filtre à un périmètre d’une cinquantaine de kilomètre autour de Lyon.

 

Lancement :

 

Dans le cadre de notre unité d’enseignement, nous ne pourrons pas immédiatement réaliser le lancement de notre produit car cette compétence ne rentre pas dans le cadre de celle-ci mais nous pourrions simuler ce lancement.

Notre produit restera donc local, sa conception devra se faire dans un périmètre d’une cinquantaine de kilomètre autour de Lyon mais sa commercialisation pourra se faire dans un périmètre allant de 100 à 200 kilomètre dans un premier temps sans ne jamais avoir un export hors de la France pour les produits conçues à Lyon car l’impact carbone sera plus élever et que nous souhaitons lutter contre celui mais aussi car chaque eaux de surface est différentes et notre filtre n’aura pas le même rendement où qu’il soit. Une étude des sols et de l’eau sera donc obligatoire avant chaque implantation.

 

Croissance :

 

Si le lancement de notre projet est une réussite en France métropolitaine nous pourrons nous exporter dans nos territoires d’outre-mer qui sont plus vulnérable au niveau de l’eau potable. Cependant comme nous l’avons dit précédemment, les matériaux contenus dans le filtre devront être adapté pour chaque lieu de filtration et nous nous efforcerons à utiliser des matériaux de la région d’implantation du filtre. Si nous sommes optimistes, nous pourrions nous dire que le produit pourra se répandre en Europe, du moins dans un premier temps dans les régions économiquement forte ou dans les pays en développement comme la Roumanie ou les pays de l’Est où l’accès à l’eau n’est pas garanti à tous.

 

 

Maturité :

 

A maturité notre projet pourrait s’exporter en dehors de l’Europe nous pensons notamment à la Chine où le marché de l’eau serait porteur car celui-ci pourrait s’adresser à plusieurs millions de personnes ; ce serait également le cas de l’Inde avec un marché comprenant presque autant de consommateur possible. Nous rappelons encore une fois que si notre filtre trouve une place sur les marchés asiatiques ou indiens, nous reverrons l’intégralité de nos composants afin de répondre au mieux aux politiques de l’éco-conception qui sont les maîtres mots de notre projet.

 

Déclin :

 

Comme tout produit, notre filtre aura un début et une fin avec au mieux une apogée entre ces deux moments ; cela s’appelle le cycle de vie économique du produit comme on peut le voir sur le graphique ci-dessous.

Notre produit et notre projet auront forcément un déclin car notre projet avait pour but de construire un filtre répondant aux critères énoncés en haut de cette page. Nous avons alors présenté une solution parmi surement une multitude d’autre. Nous n’avons donc pas pour but de réaliser plusieurs gammes de produit ou même des évolutions notables du premier filtre. La vie économique de notre produit sera donc assez courte. Notre produit serait donc par conséquent peu adapté à une économie de marché comme l’économie mondiale actuelle qui souhaite toujours avoir du neuf et de la nouveauté. Si nous arrivons à concevoir un filtre se régénérant et s’autogérant, notre produit d’aura donc pas de fin de vie réel et ne poussera donc pas le consommateur à racheter un nouveau système.

bottom of page